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Où en sommes nous ?
Les pays africains font face à des dérèglements directement liés à l’action de l’homme sur son environnement S’il est mesuré aujourd’hui que l’Afrique n’est pas le continent responsable du niveau actuel de dégradation de l’environnement et de ses écosystèmes (moins de 4 % des émissions de CO2), les populations subsahariennes n’en sont pas moins impactés : pluviométrie perturbée, dérèglement du climat, désertification/dé-fertilisation des sols, pollution de l’air et j’en passe…
Par ailleurs, la diplomatie de la DETTE qu’appliquent les pays du G20, s’appuie sur une surexploitation des ressources naturelles africaines pour pour accentuer leur influence et s’imposer dans la gestion de ces même ressources. La complicité coupable ou naïve des dirigeants africains et d’une élite en mal d’intégration dans le système financier mondial, facilite et consolide le statut-quo au moment même où nous faisons face à une double crise sanitaire et environnementale. De nombreuses alternatives citoyennes ce développent un peu partout dans le monde, dans l'espoir d'impulser et d'accélérer l'entrée des dirigeants politiques dans une dynamique de transition écologique.
Que fait le citoyen subsaharien ? Où est-il sur l'échiquier international à ce sujet ?
La construction d’une conscience citoyenne à l’échelle d’une nation est désormais cruciale et urgente. Sa mise en mouvement l’ai encore plus. Les populations subsahariennes doivent plus que jamais être résilientes, perspicaces, et volontaires pour faire face à ces situations. Mais elle doivent prendre en main les leviers d’une interposition éclairée et solide. Et pendant ce temps …
Que fait la société civile subsaharienne fédérée et sensibilisée ?
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PAROLES D'ACTEURS RESSOURCES
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M. BAH Amadou, Directeur exécutif Action Mines Guinée
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